user-manual: contributions de la communauté fr
https: //git.jami.net/savoirfairelinux/ring-project/-/issues/1256 Change-Id: I01662430f901ba20c1dc24d9e83bcd80f8b21a7f
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5e1268051d
commit
f1fa34bbd0
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@ -2,7 +2,9 @@ Jami is a universal distributed communication platform.
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This guide explains how to use Jami.
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[Introduction](user-manual/introduction)
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[Introduction (fr)](user-manual/introduction)
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[Installation et mise à jour (fr)](user-manual/installation)
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[Create your Jami account](user-manual/create-jami-account)
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Binary file not shown.
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@ -0,0 +1,89 @@
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# Installation et mise à jour sous Debian GNU/Linux et ses dérivés par la ligne de commande
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## Installation
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Avant de commencer l’**installation** via la ligne de commande GNU/Linux, si vous n’êtes pas sûr du système installé sur votre appareil, renseignez-vous avec la commande
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`uname -a && lsb_release -a`
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Vous obtiendrez quelque chose de ce genre pour une installation Debian :
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Linux user 4.19.0-14-amd64 #1 SMP Debian 4.19.171-2 (2021-01-30) x86_64 GNU/Linux
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No LSB modules are available.
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Distributor ID: Debian
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Description: Debian GNU/Linux 10 (buster)
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Release: 10
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Codename: buster
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x86_64 signifie que l’architecture du système installé est en 64 bits, on l’appelle également amd64. L’architecture et la description de votre système sont les principales informations que vous devez noter à ce stade.
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Allez sur la page https://jami.net/download-jami-linux/# via votre navigateur web, puis choisissez votre distribution GNU/Linux dans la liste à gauche de l’écran. Les instructions correspondant à votre système sont lisibles en cliquant le bouton dont l’icône symbolise le terminal >_ . Un copier-coller de la commande indiquée suffit généralement, mais s’il arrive que la commande ne s’exécute qu’en partie, refaites le “coller” autant de fois que nécessaire pour voir la commande de l’installation proprement dite de Jami dans le terminal. En résumé la commande indiquée, pour les distributions GNU/Linux telles que Debian (qui est prise ici pour exemple, à adapter à votre propre distribution GNU/Linux) et celles qui en dérivent, fait cinq choses :
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1. Elle commence par installer les outils nécessaires pour la suite de l’opération.
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( sudo apt install gnupg dirmngr ca-certificates curl --no-install-recommends )
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2. Elle télécharge les clés GPG de Jami et les ajoute à votre système.
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( curl -s https://dl.jami.net/public-key.gpg | sudo tee /usr/share/keyrings/jami-archive-keyring.gpg > /dev/null )
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3. Elle ajoute dl.jami.net comme source de mise à jour pour votre système.
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( sudo sh -c “echo ‘deb [signed-by=/usr/share/keyrings/jami-archive-keyring.gpg]
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https://dl.jami.net/nightly/debian_10/ ring main’ > /etc/apt/sources.list.d/jami.list” )
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4. Elle met à jour le cache de apt pour qu’il puisse télécharger et installer Jami sur votre système.
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( sudo apt-get update )
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5. Elle lance l’installation proprement dite de Jami.
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( sudo apt-get install jami )
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Une fois l’installation terminée, Jami peut se lancer depuis le terminal en tapant simplement jami dans l’invite de commande.
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## Mise à jour
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**La mise à jour** se fait par le gestionnaire de paquet apt, donc pas besoin de répéter l’intégralité de la commande évoquée plus haut. Pour mettre l’ensemble de votre système à jour en plus de Jami, faites dans le terminal
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`sudo apt-get update && sudo apt-get upgrade`
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C’est la ligne de commande qui actualise apt et installe les mises à jour disponibles sans rien ajouter ou enlever. Pour une mise à jour en profondeur de votre système, faites
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`sudo apt-get update && sudo apt-get dist-upgrade`
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Cette dernière commande est celle que j’utilise le plus souvent en tant qu’utilisateur.
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Pour plus de renseignements sur la gestion des paquets, https://debian-facile.org et son wiki peuvent être utiles. Vous pouvez aussi compléter avec https://doc.ubuntu-fr.org et son guide.
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# Installation et mise à jour sous Debian GNU/Linux et ses dérivés par l’interface graphique
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## Installation
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Le plus simple est généralement de télécharger le paquet/installeur correspondant à votre plateforme ou distribution GNU/Linux et à votre architecture (amd64 ou 64 bits en général).
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Pour ce faire, rendez-vous sur le site internet de Jami, https://jami.net, via votre navigateur web (Firefox, Chromium, etc.). Cliquez ensuite sur « Télécharger Jami » ou sur l’icône qui correspond à votre plateforme. Ici c’est Tux le manchot.
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Vous devez ensuite choisir votre distribution dans la liste à gauche de l’écran. Si vous ne savez pas ce que vous avez d’installé sur votre appareil, appuyez sur la touche logo ou Super, puis tapez « à propos » avant d’appuyer sur la touche Entrée. La fenêtre qui s’ouvre vous renseigne sur votre installation si vous avez le bureau GNOME. Ce type d’information se trouve souvent dans les paramètres de votre système, tous les environnements de bureau confondus. Dans le tutoriel dédié, il est expliqué comment se renseigner sur son système par la ligne de commande.
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Vous verrez alors, plus à droite de l’écran, des boutons comme ci-dessous. Le premier vous ouvre une fenêtre pour télécharger le paquet tout-en-un pour la version du système installé sur votre appareil (option facile), le second affiche les commandes à recopier et à valider dans le terminal pour installer Jami (option un peu moins facile, expliquée dans le tutoriel d’installation en ligne de commande).
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Avec la première option, les utilisateurs de Debian et des distributions qui en dérivent, comme Ubuntu, pourront alors installer le paquet Jami en utilisant gdebi.
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Si vous avez gdebi vous pouvez l’ouvrir via la fenêtre qui s’ouvre quand vous cliquez sur le premier bouton. Cochez « Ouvrir avec » et choisissez « Installateur de paquet Gdebi » dans la liste qui s’affiche, puis cliquez sur « OK ». Le navigateur web télécharge le paquet et gdebi s’ouvre quand c’est fait. Cliquez « Installer le paquet » puis entrez votre mot de passe pour confirmer l’installation avec les droits d’administrateur.
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Si vous n’avez pas gdebi, cliquez « Enregistrer le fichier » pour télécharger le paquet et installez gdebi via gnome-software (Logithèque gnome ou Logiciels) ou par le gestionnaire de paquets Synaptic. Vous pourrez alors installer le paquet *jami-all_amd64.deb* par un clic droit, en choisissant *ouvrir avec gdebi* et procéder comme dans le paragraphe précédent.
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## Mise à jour
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### Gnome-software
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Le gestionnaire de paquet fourni par l’environnement de bureau GNOME tout en étant intuitif, permet de gérer différents formats de paquets en plus du format natif .deb, nous traitons de cela dans le tutoriel d’installation de Jami via l’interface graphique pour les distributions GNU/Linux non prises en charge par https://jami.net.
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L’onglet « Mises à jour » devrait afficher l’ensemble des mises à jours disponibles. Mais je vous conseille de réactualiser en cliquant sur le petit bouton représentant une flèche tournante en haut à gauche de la fenêtre. Vous devriez voir Jami apparaître dans la liste. Mais en cas de présence de mise à jour, ce logiciel vous oblige à redémarrer votre appareil pour procéder à l’installation des mises à jour. Contrairement à Synaptic que vous pouvez installer avec gnome-software.
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### Gestionnaire de paquets Synaptic
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Ce que fait apt en ligne de commande, Synaptic le fait en quelques clics après l’entrée du mot de passe de l’administrateur. Cliquez « Recharger », puis « Tout mettre à niveau ». Si des mises à jours sont disponibles, vous pourrez cliquer le bouton « Appliquer » et en avoir un aperçu avant de valider leur installation.
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### Autre interfaces graphiques pour la gestion des paquets
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La marche à suivre est à peu près similaire. Même si vous utilisez un autre environnement de bureau. Si dans certains cas, les environnements de bureau peuvent avoir eux aussi leur propre gestionnaire de paquet en interface graphique, comme Discover (plasma-discover) dans KDE Plasma, je vous conseille d’utiliser Synaptic. Mais sans le choix, il n’y a pas de liberté.
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# Installation et mise à jour sur des systèmes GNU/Linux non pris en charge par jami.net
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Pour les distributions GNU/Linux qui ne sont pas directement supportées, Jami est disponible dans des formats de paquets à vocation universelle comme Flatpak ou Snap. Le gestionnaire de paquets indépendant Guix peut aussi être une solution cependant moins à jour. Et enfin, dans le cas où une installation classique est impossible, AppImage est encore une autre possibilité.
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À l’attention des utilisateurs de (très) vieux ordinateurs, il convient de préciser que, souvent, l’architecture x86_64 ou amd64 est la plus favorisée en matière de mise à jour par rapport aux autres. Et il faut ajouter que les méthodes d’installation et de mise à jour, mentionnées ci-dessous, sont parfois gourmandes en mémoire vive. En résumé, pour prévenir toute saturation, privilégiez autant que possible une installation de votre système en amd64 ou 64 bits, et attribuez suffisamment de RAM et de swap à votre ordinateur. À mon avis, 4 Go de RAM et une partition swap de taille équivalente sont aujourd’hui un minimum. À défaut de pouvoir augmenter la RAM de votre ordinateur, agrandissez votre partition swap.
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## Flatpak
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Flatpak, installable selon les instructions de cette page https://flatpak.org/setup sur les distributions GNU/Linux supportées, semble être l’un des moyens les plus simples d’installer Jami, il existe même une extension dédiée pour gnome-software pour une installation et une mise à jour via l’interface graphique, plasma-discover propose des services similaires via son extension dédiée. Les paquets Flatpak sont maintenus dans différents dépôts. Pour Jami, nous nous intéresserons au dépôt officiel https://flathub.org et plus précisément à la page https://flathub.org/apps/details/net.jami.Jami qui fournit les instructions pour une installation en ligne de commande.
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## Snapcraft
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Installable selon les instructions de cette page https://snapcraft.io/docs/installing-snapd, Snapcraft est le principal rival de Flatpak, il permet également une installation et une mise à jour simplifiée via une extension dédiée pour gnome-software et pour plasma-discover. À la différence de Flatpak, le choix est possible entre une version « stable » et une version « edge » ou en développement. Les paquets Snap sont maintenus par la société Cannonnical. Les informations concernant Jami se trouvent sur https://snapcraft.io/jami.
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Guix
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Guix disponible ici https://guix.gnu.org/en/download, est le gestionnaire de paquets indépendant du projet GNU. Il ne semble pour l’heure ne fonctionner qu’à partir de la ligne de commande. Sa particularité serait d’offrir la possibilité d’installer et de mettre à jour sans avoir besoin des droits administrateurs. https://guix.gnu.org/fr/packages/jami-gnome-20210326.1.cfba013/ ou https://guix.gnu.org/fr/packages/jami-qt-20210326.1.cfba013/ . Il faut noter que le client jami-qt est depuis de mai 2021 l’interface graphique commune à toutes les versions de Jami pour ordinateur, et donc l’interface par défaut maintenue en priorité par l’équipe de Savoir-Faire Linux. Si vous utilisez Guix SD, distribution GNU/Linux à part entière, vous pouvez toujours utiliser Flatpak si vous n’êtes pas satisfait du paquet Jami natif.
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## AppImage
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AppImage tient sa particularité du fait que l’application disponible dans ce format est un simple fichier qu’il suffit de rendre exécutable pour pouvoir être utilisé. Sans nécessiter d’installation. Cela est expliqué ici https://appimage.org. Mais avant de se lancer, il vaut mieux voir s’il est possible d’installer tous les paquets relatifs à AppImage, les bibliothèques comme libappimage0 entre autres, proposés par votre distribution GNU/Linux. L’AppImage de Jami est disponible à cet endroit https://dl.jami.net/alpha/ où vous avez plusieurs choix. Dans la mesure où le Swarn est une fonctionnalité expérimentale de Jami, je conseillerais plutôt Jami-NoSwarm-x86_64.AppImage ou Jami-x86_64.AppImage. En revanche, pour chaque mise à jour, il faut retourner télécharger l’AppImage la plus récente publiée. D’autant que les mises à jour de Jami sont assez fréquentes, jusqu’à trois ou quatre par mois pour les ordinateurs amd64.
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@ -0,0 +1,15 @@
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Le manuel d’utilisation rédigé ici est une participation d’utilisateurs du logiciel de communication Jami. Il a pour but de fournir une base à la documentation francophone à partir des observations faites par les utilisateurs du forum officiel. Même s’il est ici possible de commenter le contenu du manuel par des annotations, il est préférable que les commentaires qui sont faits autour le soient dans le fil de discussion dédié à la documentation.
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Jami est un logiciel libre et open-source, soutenu par la Free Software Foundation (FSF). Il est conçu pour communiquer en pair-à-pair, c’est-à-dire directement d’un appareil à un autre sans l’intermédiaire d’un serveur. Jami inclus la messagerie instantanée, le transfert de fichiers, les appels audio et vidéo. Il est disponible pour GNU/Linux, MacOS, Android, Android TV, iOS et Windows.
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Créer un compte Jami ne nécessite pas d’informations personnelles. Pas de nom, courriel, numéro téléphonique.
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Votre compte est un simple fichier stocké localement sur votre appareil qui contient vos clefs cryptographiques.
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En d’autres termes, il respecte votre intimité et votre liberté.
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Avoir un mot de passe est optionnel, cela ajoute seulement une couche supplémentaire de sécurité, parce que JAMI est réellement en réseau distribué.
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Vous pouvez créer un compte sans avoir accès à internet.
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Le QR code est votre nom d’utilisateur. Partagez-le avec vos amis et collègues et scannez le pour ajouter vos amis et collègues.
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Une présentation de Jami et Savoir-Faire Linux est disponible dans les podcasts de l’APRIL https://www.april.org/64-jami, mais aussi sur la chaîne Youtube Laboratoire de cyberjustice https://youtu.be/u3ATOehW4ow ou https://invidious.snopyta.org/watch?v=u3ATOehW4ow en attendant une diffusion sur une instance peertube.
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Jami est un projet vivant qui évolue chaque jour, élargissant aux groupes ses possibilités de communication libre et respectueuse. Le début de l’aventure, c’est sur https://jami.net.
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